Conseils de typographie ou dʼorthotypographie

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De lʼintérêt de bien présenter un document

ou

Comment toiletter ses productions écrites ?

L'orthotypographie,
art de bien écrire
pour être bien lu...

Typographe, typographe, qui mʼa traité de typographe ?
Mais sait-on ce quʼest un typographe ? Une définition ?

Ce peut être celui qui agence le texte dans une mise en page dʼun journal, dʼun magazine, dʼun livre
ou celui qui conçoit des nouveaux caractères et/ou met au goût du jour les classiques un peu désuets.

Les lignes qui suivent sʼadressent plus à ceux qui veillent au toilettage et à la mise en forme dʼun texte ou dʼun écrit quʼà la conception de nouvelles polices de caractères.

OEdipe,
Œdipe

ou Oedipe
ou Édipe

« La typographie est le vestibule de la littérature ; elle suppose dans la classe très-lettrée qui lʼexerce une instruction assez universelle, car elle suppose la connaissance minutieuse de la langue, et la langue est la clef de tout savoir » affirmait déjà Jean LAMARTINE à lʼâge de seize ans, en travaillant dans une imprimerie.

Pourquoi donc dois-je mʼintéresser à la typographie ou mieux encore à lʼorthotypographie ?
On peut certes avancer plusieurs raisons, mais la plus importante, à nos yeux, reste probablement le respect du lecteur, quʼil soit élève ou parent, collègue ou autre. Le respect du code typographique contribue à lʼergonomie et au confort offerts au lecteur même pour une lecture sur écran.
Lʼemploi des espaces associées à la ponctuation(2), lʼusage des majuscules... voire des capitales(3), l'accentuation de ces capitales si nécessaire(4), lʼutilisation correcte des ligatures(5) ou des guillemets propres à la langue(8), le respect des abréviations recommandées(9), la disposition des énumérations conformément aux usages de la langue utilisée(10)... répondent à un ensemble de règles bien souvent ignorées des rédacteurs occasionnels.

Dois-je écrire :
– 25%, 25 p. cent, 25 %, ou 25 pourcent(s) ?
      voir notre page spéciale pourcent ;
– 9 h. 45, 9h45, 9 h 45, 9 h 45, 9 heures 45, neuf heures quarante-cinq ?
      voir notre page spéciale h pour heure ;
– le point final d'une citation, avant ou après le guillemet fermant ?
– p, p. ou pp. pour l'abréviation de « pages » ?
– 25°, 25ème, 25ième ou 25e pour l'abréviation de vingt-cinquième ?
– n° 12, n°12, no12, no 12, N°12 ou num.12 pour abréger «numéro 12» ?

Autant de facteurs de dispersion des lecteurs, quʼils le soient sur écran ou sur papier. Autant d'éléments qui permettent à votre lecteur de voir si vous êtes capables d'écrire correctement.

 

De la graphie à l'orthotypographie

La graphie et le graphisme (du grec γράφειν, faire des entailles, écrire des caractères) ont un peu perdu de leur sens originel qui est la manière de représenter un langage par des signes écrits, au profit d'un sens dérivé, par métonymie pourrions-nous dire, qui s'oriente plus vers l'esthétique : une manière de tracer des lignes, des courbes, souvent envisagée d'un point de vue esthétique.
L'orthographie (désuet) ou orthographe est l'ensemble des règles considérées correctes pour écrire les mots dans une langue, a très vite dû s'allier à la grammaire, ensemble de règles qui régissent l'art de bien parler et écrire un langue, pour déterminer si la suite de mots les réveils-matins sonnait est correcte.
Si l'on se réfère à la source généralement acceptée, à savoir l'Académie française, le réveil-matin est inexact dans notre orthographe, seules les orthographes réveille-matin ou réveil sont acceptées (dernière version du dictionnaire), mais certains dictionnaires admettent aussi l'orthographe réveil matin, tantôt avec, tantôt sans trait d'union, sans préciser s'il s'agit d'un mot composé ou non.
Les réveils-matins sonnaient, les grilles-pains des aides-comptables s'activaient tandis que les rouges-gorge chantaient et que les cerfs-volants animaient le ciel jusqu'au sommet des grattes-ciels. (texte d'Agathe Bozon pour découvrir les erreurs fréquentes)

Lʼécriture est en effet une forme de communication, et il est important que le lecteur en question ait lʼaccès le plus simple possible à vos écrits. Si le fond est dʼun intérêt capital, la forme nʼen est pas moins cruciale, mais agit souvent au niveau de lʼinconscient. Il ne nous a donc pas paru inutile — c'est une litote — de rappeler ici, dans nos conseils typographiques, les notions et usages essentiels de cet art de l'écriture.

Ainsi un même texte pourra laisser une impression désagréable sʼil est mal présenté et si sa lecture est mal aisée, ou bien sera avalé avec aisance sʼil suit quelques règles simples souvent issues de constatations biométriques (empiriques ou pas). Nʼoubliez donc pas que tant les erreurs dʼorthographie que celles dʼorthotypographie peuvent éloigner rapidement votre lecteur du document que vous souhaitez lui présenter.

Actuellement, la typographie en tant que technique d'impression utilisant différents types de caractères mobiles est devenue marginale, tandis qu’en tant que pratique, appliquée par chaque utilisateur d’ordinateur, elle est devenue un art universel, malheureusement mal maitrisé. Les conventions de l'écriture manuscrite ne sont plus celles de nos traitements de texte, les limites techniques de nos vieilles machines à écrire mécaniques ne sont plus celles de l'écriture moderne utilisant les moyens modernes électroniques actuels. Il est temps d'initier aux règles typographiques ceux qui n'ont jamais été formés à cette discipline autrefois réservée aux professionnels du livre.

Quelle tristesse de lire ce commentaire écrit par quelqu'un qui n'hésite pas à se présenter comme professeur en titre en faculté de lettres en Belgique :
mon avis de linguiste : On étant un pronom omnipersonnel toutes les reprises pronominales sont donc possibles.... (sic !), avec autant de fautes en moins d'une ligne...
1.- Pas de capitale en début d'intervention, alors qu'un début de paragraphe doit commencer par une majuscule : Mon avis...
2.- « On étant » n'a pas de raison d'être écrit avec une capitale, car jamais de majuscule après un deux-points, sauf dans le cas d'une citation notée entre guillemets...
3.- Des points de suspension, au nombre de trois, ne sont jamais suivis d'un point final...
 
Quelle désolation de lire cet autre écrit émanant d'un enseignant de français en haute école, belge aussi :
bw-llb071116
1.- Un deux-points isolé en début de ligne est la preuve (voir notre page spéciale espaces et ponctuation) qu'on ne connait pas les espaces insécables (voire fines)...
2.- Le mot « diagnostic » est est un substantif masculin, affirme le dictionnaire de l'Académie française, ainsi que CNRTL, Centre National de Ressources Textuelles et Linguistiques, alors que l'adjectif « diagnostique » s'emploie aussi bien pour le masculin que pour le féminin. Or, ici, sauf erreur de notre part, il semble que le mot est un adjectif qualifiant le mot « test », et devrait donc s'écrire avec la terminaison -ique..., ce qui n'est pas le cas du mot « laïc »...
3.- Si le mot “spécialistes” doit être mis entre guillemets, les guillemets propres à la langue française sont les “guillemets à la française”, à savoir « et », avec leurs espaces intérieures insécables... à défaut, la typographie belge (dans laquelle personne ne place plus sa confiance) propose les guillemets anglais — que nous avons employés ici à titre d'exemples —, (voir notre page spéciale guillemets) mais on évitera à tout prix les guillemets dactylographiques (") que rejettent toutes les typographies correctes...
4.- Pourquoi utiliser des tirets qui ne sont autres que des traits d'union entourés d'espaces,
     alors que les tirets d'incises sont – ou — mais pas - (voir notre page spéciale tirets et traits).

Quelle amertume de découvrir la page de présentation d'un site qui se vante d'être le n° 1 de la remise à niveau de l'orthographe, mais incapable d'écrire la valeur 2 500 dont l'espace entre le 2 et le 5 doit être insécable, ou mieux encore, fine.
espace insécable

Quelle affliction encore de lire dans un blog traitant de l'orthographe, ce premier message : Je possède, pour votre gouverne,une maîtrise de Français et un DEA de Linguistique obtenus à la Sorbonne, avec une virgule non suivie d'espace, avec une capitale au mot français, alors que les noms de langues ne prennent pas de majuscule en français, message suivi quelques jours plus tard de : Quelle définition donnez - vous à "je vis ces vis". Ne serait ce pas:je visse ces vis. Nous n'avons pas pu nous empêcher de réagir en lui répondant :

Un trait d'union sans espace avant ni après me parait plus mieux, non ?
Et pourquoi pas un entre « serait » et « ce » ?
L'emploi des points d'interrogation en fin de phrase interrogative n'est pas toujours une mauvaise idée.
Et une espace insécable avant le deux-points... accompagnée d'une espace justifiante après, pas à rejeter...
Je ne parle pas du non usage des guillemets corrects dont la flemme généralisée justifie, à tort, la pratique.
La maitrise de la langue n'est plus ce qu'elle était... à moins d'aller à la Sorbonne peut-être ?

Quelle épreuve de lire un texte de Jacques Attali, traitant de la langue française qui se vide de sa valeur, dans un blogue du journal l'Express, qui compte plus de fautes que de paragraphes... incompétences de l'auteur ou de l'éditeur ? Nous y consacrons également une page spéciale.

Quel regret de découvrir les vœux annuels d'un président de la République, publiés par l'Élysée, avec plus d'une quinzaine d'erreurs orthotypographiques, en ce compris l'orthographe et la typographie... nous y avons consacré une page spéciale.

Il est dommage de voir des productions académiques et scolaires qui ne respectent pas les quelques règles que nous essaierons de parcourir, ce qui dévalorise lʼimage de lʼenseignement ou de lʼétablissement académique, voire même dʼune autorité académique, quand ces textes sont diffusés auprès du public, fût-il constitué dʼétudiants ou de parents dʼélèves indulgents.
Le rôle éducatif du traitement de texte ne doit donc pas se limiter à une mise au net dʼune production écrite traditionnelle. Il consiste aussi en lʼapprentissage de la composition harmonieuse et cohérente de la page, garante dʼune lecture agréable.

Être typographe, cʼest veiller à ce que nʼapparaissent pas de telles hérésies dans des documents qui émanent de formateurs de formateurs, dʼIUFM ou anciens instituts de formation des maitres :
ects histoire
alors que, sur cinq lignes de texte, un bon typographe fera observer que :
* lʼabréviation de numéraux ordinaux est 2e ou 3e et non 2ème ou 3ème (voir notre page ordinaux 2ème ou 2e) ;
* lʼespace devant "Des dossiers" ne se justifie pas ;
* la coupure de paragraphe entre "dans" et "le cadre" est inopportune ;
* le Moyen Âge, si long soit-il, ne justifie pas la présence du trait dʼunion
   pour en joindre les deux bouts par un trait d'union
   et en négliger la capitale accentuée ;
* la construction malheureuse est notoire en fin de phrase :
   du programme d'histoire et au programme de sciences humaines.

Nous vous invitons à prendre connaissance de quelques règles que nous estimons essentielles et qui sont généralement bafouées. Voir le menu ci-dessous.

 

Il y a peu de sujets qui provoquent autant de débats passionnés, voire stériles que la création dʼun guide typographique (pour preuve, les forums et débats sur Internet). Les dictionnaires ne sʼaccordent déjà pas tous concernant les définitions et genres des mots (voir notre page espace, masculin ou féminin ou le genre de gens) ; et un guide typographique nʼa pas la prétention dʼêtre un dictionnaire.

Un guide nʼest pas une liste de règles imposées, validées par une autorité supérieure, mais simplement un ensemble de règles dʼusage auxquelles le plus grand nombre se conforme habituellement, pas un bouleversement des usages généralement respectés. Aucune amende ni incarcération pour ceux qui décident de procéder autrement. Mais le principal souci dʼun compositeur sera la cohérence : faire ses choix et surtout sʼy tenir sur lʼensemble du document. Un mélange dʼusages dans un même document est la pire situation possible (risques de confusions, difficultés de compréhension et impressions de paresse, dʼignorance ou dʼincompétence de lʼauteur).

Depuis des dizaines dʼannées, le caprice et le désir de se singulariser ont introduit dʼabord chez les imprimeurs puis chez chaque propriétaire dʼun traitement de texte, une infinité de marches qui n’ont rien de typographiques — parce qu’elles sont sans logique, sans suivi et sans beauté — et qui ont porté à leur plus haut degré la négligence des véritables lois de la composition. Ce sont ces lois, créées par des maîtres et un long usage, que nous exposons dans ce guide, en citant aux mieux nos sources pour éclairer le lecteur qui souhaite en savoir plus.

Nʼoublions pas quʼutiliser une typographie correcte, cʼest :

* adopter une esthétique typographique, propre à chaque langue ;
* renforcer des habitudes correctes de lecture
    (voir lʼineptie des points de suspension qui suivent une virgule, ici) ;
* faciliter la cohérence des écrits ;
* simplifier tous les processus dʼédition de documents ;
* respecter son lecteur ;
* assurer une plus grande fluidité de lecture ;
* atténuer lʼapparition de situations problématiques, incertaines et confuses.

En décembre 1990, un ensemble de rectifications orthographiques ont été recommandées par le Conseil supérieur de la langue française et publiées « Documents » du Journal officiel [N.D.L.R. : le pendant de notre Moniteur belge]. Dans sa séance du 17 janvier 1991, LʼAcadémie française a adopté la déclaration suivante :

« LʼAcadémie française rappelle que le document officiel, souvent improprement appelé « réforme », document quʼelle a, après examen de sa commission du dictionnaire, approuvé à lʼunanimité dans sa séance du 3 mai 1990, ne contient aucune disposition de caractère obligatoire. Lʼorthographe actuelle reste dʼusage, et les « recommandations » du Conseil supérieur de la langue française ne portent que sur des mots qui pourront être écrits de manière différente sans constituer des incorrections ni être considérés comme des fautes. Elle estime quʼil y a avantage à ce que lesdites recommandations ne soient pas mises en application par voie impérative et notamment par circulaire ministérielle. Selon une procédure quʼelle a souvent mise en œuvre, elle souhaite que ces simplifications et unifications soient soumises à lʼépreuve du temps, et elle se propose de juger, après une période dʼobservation, des graphies et emplois que lʼusage aura retenus. Elle se réserve de confirmer ou dʼinfirmer alors les recommandations proposées. »

 

En 1991, une norme belge NBN Z 01-002, pour la présentation de lettres commerciales, fut créée. Nous commentons et analysons cette dernière, essentiellement inspirée des usages propres aux langues germaniques[6] dans les pages suivantes et y étudions aussi quelques textes qui en préconisent lʼusage et enfin, le suivi correct de ces normes.

Le 27 décembre 2012, lʼencyclopédie libre WIKIPÉDIA nous a fait la suggestion suivante que nous nous efforçons de reproduire ici : « Les règles françaises de ponctuation ne sont pas systématiquement dʼapplication pour tous les pays francophones. Cette différence se marque en particulier dans les pays où le français côtoie une ou plusieurs autres langues. La norme belge, par exemple, se rapproche de la règle québécoise inspirée par les normes anglo-saxonnes.[7] »

Malheureusement, on trouve encore trop d'ignorants d'une typographie correcte :

deuxième s'abrège 2e
et pas 2ème, ni...
espace insécable, voire fine,
devant '%'
2e_100_%
cf. abréviation 2e
cf. pour cent %
volonté de corriger ou...
panne ?
8e_8eme
cf. abréviations
deux-points, espace avant,
correcteur, 2 'r',
correcteurs, pluriel,
?, espace avant
correcteurs
cf. ponctuation et espaces
horaire :
espace avant et après 'h'
h_horaire
cf.
capitales accentuées...
mais pas les bonnes...
ecole_laval
cf. capitales accentuées
cf. préposition À en début de phrase
Dr. sans point abréviatif,
renouveler, 1 L à l'infinitif, 2 L si conjugué je renouvellerai),
méritent, pluriel car sujet = Dr + équipe (à discuter),
demandent, pluriel car sujet = ceux,
docteur, sans capitale
polnareff
cf.
? espace avant,
commancais, c cédille,
ferais tu, trait d'union,
metterais, du verbe metter ?
fumer
cf. tirets et traits d'union
 


« Ceux qui ne savent rien en savent toujours autant que ceux qui nʼen savent pas plus quʼeux. » (Pierre Dac)

Pas dʼattitude répressive, pas de purisme excessif. Ne soyons pas plus catholiques que le Pape et nʼétouffons pas dans lʼœuf ceux qui ont envie de sʼexprimer. Prétendre quʼil nʼy a quʼune seule norme, établie une fois pour toutes, la perfection débarrassée de toutes ses scories... cʼest risquer dʼêtre la source de complexes et dʼinsécurité... linguistique, évidemment.
Or, notre but nʼest pas dʼengendrer une peur, mais dʼêtre un guide pour que nous puissions comprendre pourquoi les Canadiens sourient lorsquʼun Belge dit quʼil a joué avec ses gosses et pourquoi les Belges sourient lorsquʼun beau mâle français demande une serviette en sortant de sa douche.

Acceptons nos différences. Soyons tolérants ! Mais ne confondons pas « tolérance » et « ignorance ». Rappelons-nous ce quʼaffirmait déjà Fernand Baudin en 1990 : « La typographie nʼest pas affaire de conventions nationales. [...] Aucune règle nʼinterdit de répéter les guillemets à chaque ligne comme on lʼa fait pendant quelques siècles. Rien nʼempêche dʼadopter tel ou tel système selon le travail en cours. Le simple bon sens empêche de mêler deux ou plusieurs systèmes dans un même travail. Il nʼy a pas dʼinformatique qui tienne : rien ne dispense de se servir de la chose au monde la mieux partagée : le bon sens. Cʼest affaire de goût. Et le bon goût nʼa jamais été synonyme dʼignorance et dʼindifférence. »(1)

Pierre Marlet [© RTBF 2001] : « Une langue vivante varie dans le temps et dans lʼespace. Les Wallons ne doivent donc pas être honteux dʼutiliser certains mots qui nʼappartiennent quʼà eux, à condition dʼêtre conscients quʼils ne sont pas compris ailleurs. Il suffit dʼadapter au langage la célèbre phrase de Pierre Desproges : “On peut rire de tout mais pas avec nʼimporte qui. On peut parler comme chez soi tant quʼon est entre amis...” »


[1] Baudin Fernand. "La typographie" « entre guillemets ». In : Communication et langages, n° 84, 2e trimestre 1990. p. 117-118.
https://www.persee.fr/doc/colan_0336-1500_1990_num_84_1_2230

[2] cf. page spéciale : ponctuation et espaces

[3] cf. page spéciale : majuscules ou capitales

[4] cf. page spéciale : capitale accentuée

[5] cf. page spéciale : ligatures

[6] Le lecteur non convaincu peut faire une recherche dans un moteur de recherche : "NBN Z 01-002" donne 165 pages trouvées, mais si on se limite aux pages francophones, on nʼen trouve plus que 8, dont toutes ne défendent pas les dites normes.

[7] ponctuation différente en Belgique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Deux-points

[8] cf. page spéciale : guillemets

[9] B

 




Voir aussi :

et les caractères spéciaux avec "alt"... toujours utile... touche alt

caractère
capitale
À Â Ç È É Ê Ë Î Ï Ô Ù Û Ü
alt + 4 chiffr. 0192 0194 0199 0200 0201 0202 0203 0206 0207 0212 0217 0219 0220
alt + 3 chiffr. 183 182 128 212 144 210 211 215 216 226 235 234 154
 
caractère
bas d casse
à â ç è é ê ë î ï ô ù û ü
alt + 4 chiffr. 0224 0226 0231 0232 0233 0234 0235 0238 0239 0244 0249 0251 0252
alt + 3 chiffr. 133 131 135 138 130 136 137 140 139 147 151 150 129
 
caract§re
autre
« » œ æ Œ Æ esp.
inséc.
"
alt + 4 chiffr. 0171 0187 0156 0230 0140 0198 0133 0160 0147 0148 0034 0145 0146
alt + 2 ou 3 chiffr. 174 175 339 145 338 146 / 255 / / 34 / /
 
caractère
autre
¡ ¿ ¼ ½ ¾ ± ñ Ñ . .
alt + 4 chiffr. 0150 0151 0161 0191 0188 0189 0190 0177 0241 0209 0128 0 0
alt + 2 ou 3 chiffr.     173 168 172 171 243 241 164 165 / / /

Si vous n'avez pas de pavé numérique sur un ordi portable,
il suffit d'appuyer sur les touches Fn et NumLock (Inser) en même temps,
et le pavé numérique sur les touches
clavier numérique7(7)   8(8)   9(9)   0(/)

U(4)   I(5)   O(6)   P(*)

  J(1) K(2)   L(3)   M(-)


  ?(0)           /(.)   §+(+)

(la dernière ligne/colonne est/sont différente(s) selon les claviers belges, français...)
 
 


 
sera activé
et les raccourcis Alt + code chiffré fonctionneront.

 

Quelques livres qui nous ont inspiré, quelques outils de travail pour primo-scripturants... :

Quelques sites de référence :

 


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