Conseils de typographie ou dʼorthotypographie |
See You Why? |
En 1991, une norme belge NBN Z 01-002, pour la présentation de lettres commerciales, fut créée. Cette dernière est essentiellement inspirée des usages propres aux langues germaniques[6]. Nous ne citerons que lʼabsence dʼespace devant les points dʼinterrogation ou dʼexclamation, alors que tout le monde sʼaccorde à admettre quʼil y faut une espace fine, généralement remplacée par une espace insécable.
Essayerait-on de nous faire comprendre que les francophones de Belgique ne doivent pas écrire comme ceux de France ou du Canada ?
Essayerait-on de suggérer que lʼAcadémie française nʼest plus une référence quant à lʼusage du bon français ?
Essayerait-on de nous suggérer qu'il faille employer une typographie unique en Belgique alors qu'y cohabitent trois langues nationales qui ont chacune leur typographie ?
Essayerait-on de nous faire avaler que cette norme, forcément différente de chacune des normes typographiques, aurait pour but de faciliter le travail des typographes ou imprimeurs, alors qu'ajouter des règles nouvelles, différentes de celles existantes, ne fait qu'augmenter la confusion ?
Essayerait-on de rejeter ce que Maurice GREVISSE, auteur belge du Bon Usage, bible de notre grammaire, ou Jean DUMONT, auteur belge du Vade-Mecum du Typographe, aussi surnommé « bible des typographes belges d’antan » nous ont transmis ?
Notre enseignement est-il devenu à ce point ignare et soumis qu'il espère, en faisant la chattemite, jouer à l'arbitre expert et mettre les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre, comme le Chat de La Fontaine (ou de la Fontaine, selon l'école de typographie) ?
Chaque langue a ses règles et ses normes typographiques spécifiques. Le respect strict des règles typographiques améliore la lisibilité d'un texte. Elle lui rend toute sa clarté et facilite la lecture malgré la présence éventuelle de phrases longues et de mots techniques complexes. Le texte apparaît alors familier au lecteur, ce qui optimise la réceptivité de ce dernier et rejaillit positivement sur le produit ou le service concerné. Vouloir une typographie unique dans un pays où la Constitution reconnait trois langues nationales, est un acte constitutionnellement déplorable et regrettable.
Vouloir une typographie nationale unique,
ce sera bientôt vouloir que nos `koda deviennent des Skoda (sans l'accent caron),
ce sera comme refuser d'écrire correctement le nom de notre reine pendant 33 ans en Belgique : Doña Fabiola de Mora y Aragón (avec le n tilde et le o accent aigu qui n'existent pas en français),
ce sera refuser que nos amis suédois ou danois de København, la capitale et la plus grande ville du Danemark utilisent des caractères comme Æ, Å, Ä, Ö, Ø ou ø pour écrire leur langue,
ce sera obliger nos amis germanophones à abandonner leur système de guillemettage, à savoir : »Ich kann Ihnen nicht mehr vertrauen«, sagte sie, »nach allem, was Sie getan haben.«,
ce sera leur demander de supprimer ces majuscules au milieu des phrases,
ce sera accepter que nos amis néerlandophones écrivent coeur ou soeur (sans ligatures, au lieu de cœur ou sœur),
ce sera leur imposer d'écrire Kortrijk ou Ijzer (sans la ligature ij, au lieu de Kortrijk ou IJzer... il est vrai, la différence est parfois minime !),
ce sera aussi refuser que nos compatriotes germanophones utilisent les mots heißen ou Straße,
ce sera peut-être aussi supprimer nos accents sous le prétexte de faciliter le travail des imprimeurs...
Suivre les normes nationales de typographie,
c'est accepter de suivre allègrement les conseils (normes?) de typographie d'une équipe (?) qui n'y connait rien en typographie,
comme si l'on acceptait comme prof de math pour ses enfants, le premier individu qui est capable de lire et répéter (sans comprendre) le livre de math à enseigner,
comme si un prof acceptait d'avoir un inspecteur incompétent dans sa discipline...
Suivre ces normes nationales belges, c'est probablement ne jamais les avoir lues, puisqu'elles précisent en leur objet qu'elles veulent « promouvoir à l'aide de cette norme l'uniformisation de l'entrée et du traitement des données commerciales et administratives afin d'en augmenter la simplicité, la lisibilité et les possibilités d'échange. La norme est assez flexible pour favoriser si nécessaire le particularisme de l'entreprise, de la langue et les préférences personnelles. »
Aujourd'hui, la marche typographique belge, ajoutée aux différentes marches de maison, a engendré le chaos et chaque belge écrit ou lit comme bon lui semble. Cette marche typographique belge engendre aussi le sourire (pour ne pas dire le ridicule), en voulant s'opposer aux règles typographiques de la langue française (moins de 5 millions de francophones belges pour 278 millions de francophones dans le monde).
Avoir édité des normes, sans l’avoir fait parcourir par le prote ou par un autre typographe exercé, qui indiquera la solution de toutes les difficultés du manuscrit, c'est générer ce chaos. Ces normes, corrigées en 2002, sont vendues (quel scandale !) sur le site www.ibn.be/FR/ et pour le prix de 45 €, et depuis 2003, sur le site de www.bnb.be, au prix de 55 €, vous aurez droit aux incohérences décrites plus bas.
« Une typographie personnelle est une typographie défectueuse. Seuls les débutants et les imbéciles peuvent lʼexiger. » (Jan Tschichold, Livre et Typographie.) |
Quel dommage de voir aujourdʼhui autant de jeunes enseignants belges qui ne se soucient même plus de la qualité de leur savoir, mais qui perdent leur temps à savoir comment modifier leur programme Word (qui applique si bien les normes de la langue française) pour ne pas avoir de remarques de leur inspection, alors que Mme Lipmanne, inspectrice honoraire, a écrit en caractères gras, en page 10 de son livre Grammaire des règles typographiques et de disposition de documents :
« En ce qui concerne lʼespacement avant les signes de ponctuation ( : ; ! ?), les valeurs par défaut du logiciel peuvent être acceptées. Lʼessentiel est de ne pas composer lʼespacement avant ces signes. Les guillemets angulaires sont également acceptés. »
Nous en convenons, ces propos de lʼauteur sont difficiles à comprendre, surtout si lʼon sait que, dʼune part, les valeurs par défaut de Word sont lʼespace insécable avant toute ponctuation double, et que, dʼautre part, lʼauteur ajoute : « Lʼessentiel est de ne pas composer lʼespacement avant ces signes. » Heureusement que le ridicule ne tue plus... mais c'est peut-être dommage...
Le lecteur aura compris que ce sujet est un propos glissant qui émane dʼune des huiles de lʼenseignement et que dʼautres utilisent encore aujourdʼhui pour faire "voler dans le décor" de jeunes enseignants qui préféreraient passer leur temps à améliorer la qualité de leur enseignement sur des choses plus fondamentales. Il faut des années pour pouvoir dire "Cela glisse sur la carapace de mon indifférence".
Bref, ici accepter veut donc dire ne pas accepter... on a connu dʼautres huiles utilisant les doubles ou triples négations pour faire admettre leur propos... faut-il donc que ces enseignants nʼacceptent que par un "mais le programme reste le programme" suivi dʼun "jʼaime" les observations faites quant au contenu de leur enseignement ? alors quʼils forment les adultes responsables de demain, capables de réagir...
Heureusement, si certains enseignants, obligés par une de leurs autorités, se contraignent encore à suivre cette marche typographique dite belge, une nouvelle impulsion est donnée aujourd'hui par la FESeC (enseignement catholique en Belgique), à savoir le document 7405.pdf - Zoom sur les ressources typographiques, aussi disponible ici et dont nous ne reproduirons ici qu'une seule page où apparait enfin la distinction correcte entre espace ordinaire (ou sécable) et espace insécable... et enfin une quasi-conformité aux normes de la langue française...
Désolé si la majorité des enseignants suivent encore ces normes qui sont contradictoires, mal torchées, incohérentes et non suivies par une grosse majorité des médias actuels. Un coup d'œil ici pour s'en convaincre.
Nous n'analyserons pas en détail ce document, mais nous signalerons que :
– l'astérique mentionnée dans le tableau ci-dessus n'est pas un signe de ponctuation ni un signe de typographie reconnu.
L'emploi de ce signe présent sur la plupart des claviers, comme les différentes puces dans les énumérations, devrait être remplacé par des tirets ; utilisé comme renvoi vers une note de bas de page, on lui préfèrera le traditionnel renvoi[6] ;
– en note de bas de page, il mentionne le genre féminin de l'espace typographique, mais seulement s'il résulte de l'emploi d'une petite lame qui sert à séparer les mots (voir notre page spéciale espace, masculin ou féminin) ;
– la distinction est faite entre capitales et majuscules (voir notre page spéciale capitale-majuscule) ;
– une très (trop ?) grande liberté de traduction des normes défendues : le « Vous pouvez utiliser les signes diacritiques pour les majuscules » qui devient un « utiliser de préférence la capitale/majuscule initiale accentuée, voire les capitales accentuées ». Autant nous apprécions l'emploi des capitales accentuées, autant nous déplorons la traduction trop libre des sources.
Comment faire confiance à ces gens qui, à lʼencontre de cette vénérable dame du quai Conti[3], font preuve dʼignorances (volontairement au pluriel) :
voir détails et analyse ici.
De plus, la règle prétendue belge et biscornue concernant les énumérations ne répond à aucune autorité, pas même celle de lʼI.B.N., puisque même le "code de rédaction institutionnel européen" (voir http://publications.europa.eu/code/fr/fr-130500.htm) préconise lʼusage des virgules ou points-virgules en terminant chaque élément des énumérations, sans tenir compte de la longueur de chaque élément.
Cette règle qui consiste à employer une virgule ou un point-virgule selon la longeur dʼun des éléments de lʼénumération est une invention de madame Lipmanne, auteur belge et inspectrice dans lʼenseignement, mais cette règle nʼest le résultat dʼaucun autre ouvrage reconnu en typographie, pas plus dʼun ouvrage concernant les normes belges de typographie [voir ici].
Cette règle a déjà fait sourire plus dʼun typographe français. Si de plus, ils devaient apprendre que cette règle émane de quelquʼun qui a (ou a eu) une responsabilité dans lʼenseignement dans notre pays...
Heureusement, tout le monde sait, ou devrait savoir quʼ« en principe, les normes nʼont pas un caractère obligatoire. Toutefois, les normes belges, homologuées ou enregistrées, sont considérées juridiquement comme des règles de lʼart ou de bonne pratique. »[8] et tout lecteur aura compris quʼen lʼétat, les règles de lʼart et de bonne pratique sont loin d'avoir été observées.
Remarquons que l'IBN a été dissoute par la loi du 3 avril 2003 qui crée le nouveau NBN, Bureau de Normalisation en remplacement de l'ancien IBN... qui propose à la vente, pour 55 €, l'ancien document vendu par l'IBN au prix de 45 €... sans doute le prix de ce résumé ou invitation à acheter dont nous n'avons reproduit que trois phrases consécutives du résumé public de leur site (tel que visité le 04/07/2016, fête nationale américaine) :
Ces trois lignes, copiées-collées dans un traitement de texte (suffisamment complaisant
* pour tolérer de promouvoir a l'aide de...,
* pour accepter l'absence d'espace après une virgule et
* même pour que les abreviations soient traites...) donnent cela.
Il est déplorable de voir un ouvrage qui devrait être un exemple comme tirage, disposition, caractères, papier et illustrations, présenter dans sa composition, sa forme et son contenu, des irrégularités et des défauts choquants non seulement au point de vue de l’art, mais encore du simple bon sens.
Le texte incohérent de lʼI.B.N. a été retravaillé à lʼinitiative de la Fesec (Fédération de lʼenseignement secondaire catholique) dans un document intitulé "Présentation de documents commerciaux et administratifs selon la norme NBN Z01-002", disponible ici.
On ne pourra quʼapprécier lʼeffort de la Fesec pour rendre le texte de lʼI.B.N. un peu plus digeste.
Le lecteur constatera dʼune part, que nos observations ont été citées p. 28 (du temps où nos textes étaient hébergés sur le site www.enblc.be) et dʼautre part, quʼun net progrès de présentation a été apporté à ce nouveau document.
Cependant, on déplorera non seulement que la lecture de nos pages ait été trop rapide, mais encore ce que nous nous proposons de détailler.
Voir détails et analyse ici.
Le lecteur attentif remarquera que la brochure ne donne aucune précision concernant les énumérations,
ni quant à la disposition verticale ou horizontale,
ni quant à la ponctuation à utiliser à la fin de chaque élément...
lʼincohérence de la règle visée ici ayant été déjà perçue par les auteurs de la FESEC.
Extrêmement surpris de ces imprécisions, nous sommes allés vérifier le programme correspondant de la Communauté française (esprit scientifique oblige). Un autre réseau dʼenseignement belge serait-il plus enclin à suivre nos normes dites nationales ?
Un de ces documents sʼappelle 104-2002-248B.pdf, il reprend les programmes des sections secrétariat-tourisme, cours de secrétariat-dactylographie-bureautique. À sa lecture, on pourra au moins se poser les questions suivantes :
Voir détails et analyse ici.
Un autre de ces documents sʼappelle 158-2001-240.pdf, il reprend les programmes des sections dactylographie, traitement de texte et bureautique, sections particulièrement sensibles au suivi de règles typographiques. Peut-être que les programmes de lʼenseignement de ces sections seront plus cohérents quant à lʼorthotypographie qui nous intéresse. On pourrait avoir encore plus de raisons de se poser des questions :
Voir détails et analyse ici.
Ici non plus, pas de règles relatives aux énumérations, mais seulement quelques allusions au respect des règles typographiques, mais aucune cohérence dans les situations proposées.
La professeure Dominique Markey, faculté des sciences économiques appliquées, université dAnvers et faculté de droit, université catholique de Bruxelles (KU Brussel), grand défenseur des normes Z 01-002 (2003) atténue son propos en parlant de nouvelles tendances de frappe... Dans son document du 27 octobre 2004 (00013831.pdf), on remarquera cependant :
Voir détails et analyse ici.
Dans une mise à jour du 13 avril 2008, cette dame, professeure à lʼuniversité KUL, implantation de Kortrijk, dans son document - attention, téléchargeable au format .doc, c-à-d Word - intitulé "FAQ correspondance administrative et commerciale en français" dont copie disponible ici au format .pdf, [qui présente le site 'cuy.be' comme premier élément de sa sitographie], met à notre disposition un écrit qui souffre encore des remarques suivantes :
Voir détails et analyse ici.
Heureusement que ces pages sont en copyright, cela évite quʼelles ne soient trop copiées ;o)
Dans cette partie de nos recherches, nous avons aussi analysé certains cours dʼenseignants qui abordent la typographie dans leurs cours rendus publics sur Internet.
Vous y trouverez :
Pas très convaincu par les écrits des défenseurs des normes belges que nous avons parcourus, il nous paraissait judicieux de découvrir les sites relevés par un moteur de recherche, suite à la demande « norme belge nbn "Z 01 002" », demande répétée deux années de suite...
Quelque 25 ans après la publication de ces normes, surprises : dʼune part, notre site y était mentionné 4 fois sur 10 en première page lors de notre première visite, et 2 fois sur 10 lors de notre deuxième visite ; dʼautre part, une lecture attentive des pages suggérées ne nous a pas réconcilié avec le bien-fondé de nos normes typographiques nationales.
Voir détails et analyse ici.
Dépité de nʼavoir découvert que si peu de conviction parmi les concepteurs de ces normes, parmi les huiles de notre enseignement sensées être particulièrement impliquées par le sujet, parmi les enseignants eux-mêmes et parmi ceux qui font état de leur compétence en la matière et reconnus par le moteur de recherche le plus utilisé du monde, nos regards se sont tournés vers le presse belge. Peut-être ces acteurs de la communication seront-ils sensibles à ces instructions émanant de lʼIBN.
Voir détails et analyse ici.
Quasi aucune des références typographiques belges ne nous a donné pleine satisfaction.
Nous croyons cependant que le respect de nos lecteurs implique une cohérence interne, ce qui signifie entre autres et avant tout, de faire soi-même ce que lʼon prétend devoir faire. Il se fait que malheureusement cʼest par ce défaut que pèchent généralement les pourfendeurs des dites prescriptions typographiques belges.
En savoir plus ici.
« Ceux qui ne savent rien en savent toujours autant que ceux qui nʼen savent pas plus quʼeux. » (Pierre Dac) |
[1] cf. diverses définitions extraites de diverses sources ici
[2] Le lecteur sensible à la nouvelle orthographe (de 1990 !!!) aura noté quʼil nʼétait pas seulement acceptable mais recommandé dʼécrire "Ile-de-France" et "maitrise" (sans accent circonflexe).
[3] Haut lieu de la culture française, lʼAcadémie française tient ses séances solennelles sous la coupole de lʼancien collège des Quatre Nations, sur le quai Conti.
[4] IDIOSYNCRASIE (le premier s se prononce ss) n. f. XVIe siècle. Emprunté du grec tardif idiosunkrasia, « tempérament particulier ».
[5] Le lecteur observateur aura noté que nous avons bien écrit œil, et non pas oeil (dont le pluriel, dans le sens typographique est œils). La négligence de ligature est aussi une faute orthographique, autant que la non accentuation des lettres capitales.
[6] Le lecteur non convaincu peut faire une recherche dans un moteur de recherche : "NBN Z 01-002" donne 165 pages trouvées, mais si on se limite aux pages francophones, on nʼen trouve plus que 8, dont toutes ne défendent pas les dites normes.
[7] Voir : http://listetypo.free.fr/meron/qualty18.pdf
[8] Voir : http://besafe.be/fr/prevention-incendie/legislation/autres-1-12-1992-etablissements-d’hébergement-fédéral-5735 et http://www.cstc.be/homepage/index.cfm?cat=services&sub=standards_regulations&pag=fire&art=standards_and_regulations&niv01=belgian_fire_safety_requirements&niv02=survey
Quelques sites qui nous ont inspiré :
ligatures | Orthotypographie accueil | erreurs et ignorances des concepteurs des normes belges
Voir aussi :
et les caractères spéciaux avec "alt"... toujours utile...
caractère capitale |
À | Â | Ç | È | É | Ê | Ë | Î | Ï | Ô | Ù | Û | Ü |
alt + 4 chiffr. | 0192 | 0194 | 0199 | 0200 | 0201 | 0202 | 0203 | 0206 | 0207 | 0212 | 0217 | 0219 | 0220 |
alt + 3 chiffr. | 183 | 182 | 128 | 212 | 144 | 210 | 211 | 215 | 216 | 226 | 235 | 234 | 154 |
caractère bas d casse |
à | â | ç | è | é | ê | ë | î | ï | ô | ù | û | ü |
alt + 4 chiffr. | 0224 | 0226 | 0231 | 0232 | 0233 | 0234 | 0235 | 0238 | 0239 | 0244 | 0249 | 0251 | 0252 |
alt + 3 chiffr. | 133 | 131 | 135 | 138 | 130 | 136 | 137 | 140 | 139 | 147 | 151 | 150 | 129 |
caractère autre |
« | » | œ | æ | Œ | Æ | … | esp. inséc. |
“ | ” | " | ‘ | ’ |
alt + 4 chiffr. | 0171 | 0187 | 0156 | 0230 | 0140 | 0198 | 0133 | 0160 | 0147 | 0148 | 0034 | 0145 | 0146 |
alt + 2 ou 3 chiffr. | 174 | 175 | 339 | 145 | 338 | 146 | / | 255 | / | / | 34 | / | / |
caractère autre |
– | — | ¡ | ¿ | ¼ | ½ | ¾ | ± | ñ | Ñ | € | . | . |
alt + 4 chiffr. | 0150 | 0151 | 0161 | 0191 | 0188 | 0189 | 0190 | 0177 | 0241 | 0209 | 0128 | 0 | 0 |
alt + 2 ou 3 chiffr. | 173 | 168 | 172 | 171 | 243 | 241 | 164 | 165 | / | / | / |
Si vous n'avez pas de pavé numérique sur un ordi portable,
il suffit d'appuyer sur les touches Fn et NumLock (Inser) en même temps,
et le pavé numérique sur les touches
7(7) 8(8) 9(9) 0(/)
U(4) I(5) O(6) P(*)
J(1) K(2) L(3) M(-)
?(0) /(.) §+(+)
(la dernière ligne/colonne est/sont différente(s) selon les claviers belges, français...)
sera activé
et les raccourcis Alt + code chiffré fonctionneront.